La Marche de Boudienny

Dans le sang, la colère S’avançait en tonnerre, L’an second de la Révolution. Les légions étrangères Franchissaient les frontières Il fallait repousser l’invasion.(bis)

La steppe qui s’étonne Voit surgir les colonnes Que menait Boudienny au combat. Nous allions prolétaires Aux balles meurtrières, La victoire avançait à grands pas. (bis)

Dans la steppe sans limites, Bien des os blanchissent, Des cadavres de vieux partisans ; De l’Oural à l’Ukraine Les sillons se souviennent Des Corps Francs Ouvriers Paysans. (bis)

Si l’ennemi prend pour cible Notre peuple paisible Et s’il pleut des obus meurtriers, Que Boudienny nous mène Sur les routes anciennes Protéger les Soviets en danger. (bis)