Plus d’une quarantaine de candidats et de militants ont été tués depuis l’ouverture de la campagne pour les élections générales qui auront lieu le 9 septembre au Guatemala. Selon Mirador Electoral (ME), une coalition d’organisations civiques qui observe la consultation, c’est la campagne la plus violente depuis la fin des régimes militaires et le retour à la démocratie dans le plus grand des pays d’Amérique centrale, en 1985.