Jean-Paul Marat

Il rédige seul son journal « L’Ami du Peuple » où ses articles violents ont notamment encouragés les massacres de septembre. Il s’emploie à défendre les sans-culottes au sein du club des Cordeliers. Une fois la république proclamée, il joue un rôle important dans la chute des girondins. Mais il n’aura pas le temps de faire usage de sa popularité, il est assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday.