Très peu de cinémas peuvent se targuer d’avoir récolté autant de distinctions internationales que le cinéma iranien, patchwork de conscience politique et de recherche esthétisante.
Un cinéma mélodieux qui a la justesse des plus beaux accords, considéré par Michael Haneke et Maurice Herzog « comme l’un des plus importants artistiquement ». Est-ce l’imposition de normes très strictes de production ou une censure omniprésente qui obligent les réalisateurs du pays à composer ces merveilleuses odes au courage ? Sûrement comme aime à le rappeler Samira Makhmalbaf.