La peine de mort représente une négation absolue des droits humains. Au Bélarus, la situation est d’autant plus dramatique que la peine capitale est utilisée par un système pénal défaillant qui viole les normes internationalement reconnues.
La torture serait utilisée pour arracher des « aveux » aux détenus, qui n’auraient pas accès à des voies de recours efficaces, et les condamnés à mort ne sont avertis que très peu de temps à l’avance du moment de leur exécution.
Amnesty International, le Centre des droits humains Viasna et le Comité Helsinki du Bélarus s’opposent à la peine de mort en toutes circonstances et sans exception.
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