La guerre des boutons d’Yves Robert (le vrai ! : 1962 ) au Festival Lumière le mercredi 5 octobre à 14h30 – Halle Tony Garnier – Lyon
Projections surprises en avant-programme et goûter offert à tous les enfants.
Film pour enfants à partir de 6 ans.
Synopsis :
Deux villages, Longeverne et Velrans, sont en guerre.
C’est la guerre que mènent chaque année les écoliers des deux communes.
Quand la troupe de Longeverne commandée par le grand Lebrac fait un prisonnier, on soustrait à ce dernier tous ses boutons.
Cette méthode remporte un franc succès, à tel point que les troupes, pour éviter cette extrême humiliation, se mettent à combattre nues.
Fiche technique :
Titre français : La Guerre des boutons Réalisation : Yves Robert Scénario : Yves Robert et François Boyer, d’après le roman éponyme de Louis Pergaud sorti en 1912 Dialogues : François Boyer Décors : Pierre-Louis Thévenet Photographie : André Bac Son : Pierre Calvet Montage : Marie-Josèphe Yoyotte Musique : José Berghmans Production : Yves Robert, Danièle Delorme pour les Productions de La Guéville ; Léon Carré Pays : France Langue : français Format : Noir et blanc Genre : Comédie Durée : 93 minutes Sortie : 1962
Distribution :
Martin Lartigue : Petit Gibus François Lartigue : Grand Gibus Henri Labussière : Le paysan sur son tracteur François Boyer : Le curé Claude Confortès : Nestor, le facteur André Treton : Lebrac, chef des Longevernes Pierre Trabaud : L’instituteur Christophe Bourseiller : Gaston Marie-Catherine Faburel : Marie Tintin, petite amie de Lebrac Michel Isella : L’Aztec Jacques Dufilho : Le père l’Aztec Michèle Meritz : La mère de l’Aztec Jean Richard : Le père Lebrac Yvette Etievant : La mère de Lebrac Michel Galabru : Le père Bacaillé Pierre Tchernia : Bédouin, le garde-champêtre Paul Crauchet : Touegueule Robert Rollis : Le père de « Migue la Lune » Yves Peneau : Préfet des études Louisette Rousseau : La mère de Bacaillé Claude Meunier : Bacaillé
En 1962, Le film remporte le Prix Jean-Vigo et est lauréat de la Victoire du Cinéma Français.
« Si j’aurais su , j’aurai pas venu ! »