Les conjointes des présidents ont rassemblé leurs voix pour dénoncer la violence faite aux femmes toujours présente dans certains pays membres de l’ONU. Elles sont contre l’impunité des acteurs de viols considérés comme crimes de guerre ou crimes contre l’humanité par la cour pénale internationale.
Le sommet de l’Elysée « pour la paix et la sécurité » a été une occasion pour ses premières dames de manifester leur soutien aux femmes qui ont été victimes de viols. C’était le meilleur instant pour montrer leur volonté à agir. Elles ont également montré leur courage dans la lutte contre la violence subit par les femmes. Valérie, première dame de la France a invité ses homologues de « ne plus se taire ».
Ces cas de violences sont enregistrés en République Centrafricaine, au Mali et en RDC. Pour Zainab Hawa Bangura, représentante du secrétaire générale de l’ONU ce problème a un caractère universel. Le conseil de sécurité soutient que les viols ne sont pas « un dommage collatéral regrettable et inévitable ». L’appel de ces dames a été publié et signé avant la prise de photo ensemble.