Les extrémistes juifs manifestent une hostilité sur la visite du Pape en Israël programmée pour le 25 et 26 mai prochains. Le gouvernement s’inquiète sur les éventuels effets des actes antichrétiens et antimusulmans qu’ils ont perpétrés, car cela pourrait nuire à l’image de l’Israël.
Depuis le début de l’année, plus d’une vingtaine d’infractions similaires ont été enregistrées par la police locale. Des actes de vandalisme, des menaces de morts et intimidation des chrétiens et Arabes viennent compléter la liste des infractions commises par ces extrémistes.
Aucune mesure n’a encore été prise par le gouvernement local pour punir ces meneurs de trouble. Certains responsables politiques considèrent ces derniers comme une organisation terroriste qui doit répondre de ses actes. Toutefois, le ministre Uri Ariel n’a pas hésité à les contredire en déclarant que les actes terroristes ne se limitent pas à des graffitis. Ils consistent en des meurtres et des tentatives de meurtre. Ce qui n’est pas le cas pour les actes commis par ces extrémistes.