Selon une étude menée par l’OIT, plus de 260 000 personnes seraient victimes d’exploitations des êtres humains dans toutes ses formes. La traite des humains et le travail forcé rentre dans le cadre de ces pratiques prohibées par la loi.
À savoir, le proxénétisme, la servitude domestique, la mendicité forcée… Un programme national qui a pour objectif d’éradiquer cette pratique immorale a été présenté par le gouvernement le mercredi 14 mai dernier.
Ce programme, présenté par le ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem dispose 23 mesures qui se consacrent à l’identification et à la protection des victimes, la poursuite et le démantèlement des réseaux des exploitants. Ce programme a été établi en collaboration avec la Miprof. Cette dernière constitue un organisme de lutte contre les violences et la traite des êtres humains. Instauré depuis 2012, il a participé à de nombreuses actions dans le but d’éradiquer cette pratique et de fournir une protection aux victimes.
Selon une étude menée par l’OIT, plus de 260 000 personnes seraient victimes d’exploitations des êtres humains dans toutes ses formes. La traite des humains et le travail forcé rentre dans le cadre de ces pratiques prohibées par la loi.
À savoir, le proxénétisme, la servitude domestique, la mendicité forcée… Un programme national qui a pour objectif d’éradiquer cette pratique immorale a été présenté par le gouvernement le mercredi 14 mai dernier.
Ce programme, présenté par le ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem dispose 23 mesures qui se consacrent à l’identification et à la protection des victimes, la poursuite et le démantèlement des réseaux des exploitants. Ce programme a été établi en collaboration avec la Miprof. Cette dernière constitue un organisme de lutte contre les violences et la traite des êtres humains. Instauré depuis 2012, il a participé à de nombreuses actions dans le but d’éradiquer cette pratique et de fournir une protection aux victimes.