Politique

amnestyAmnesty International France n’a pas hésité à déclarer la négligence de la part de l’autorité nigériane sur l’enlèvement des centaines de lycéennes par la secte islamiste Boko Haram. Cet enlèvement aurait dû être évité si l’autorité avait su intervenir plus tôt.

Selon ses sources, Boko Haram avait averti l’armée sur ses intentions d’enlèvement. La présence des hommes de Boko Haram dans un village proche du lieu d’enlèvement a été signalée à l’autorité centrale. Mais aucun renfort n’a été envoyé pour assurer la protection de ces civils.

Les familles des jeunes nigérianes comptent sur la mobilisation internationale pour les retrouver. Célébrités, organismes non gouvernementaux, hommes/femmes d’affaires, politiciens…, tous rejoignent la communauté pour inciter les autorités compétentes à agir de manière à accélérer les recherches. Les États-Unis contribuent de manière très active à la recherche de ces jeunes filles. Le gouvernement a envoyé son armée pour retracer les éventuelles pistes permettant de les retrouver.

Politique

Barack Obama souhaite la fermeture définitive de la prison de Guantanamo

C’est lors de son discours sur l’état de l’union devant le congrés que le président d’Amérique a formulé son souhait. En effet, le chef d’étant veut que la prison de Guantanamo soit fermée cette année. Rappelons-nous que c’est une promesse qu’Obama avait fait en 2009 suite à l’élection présidentielle. Cet établissement carcéral, situé à Cuba, détient plus d’une centaine de prisonniers suspectés de terrorisme.

Les organismes humanitaires tels que Amnesty International mettent la pression au gouvernement pour que les mesures nécessaires soient prises afin que la fermeture puisse enfin avoir lieu. Cependant, ce n’est pas chose facile, car cela fait des années que des débats autour de cette affaire durent. De nombreuses personnes et d’organisations luttent pour cette case, car une bonne partie des incarcérés croupissent dans ces geôles depuis des années alors qu’il n’y ait pas suffisamment de preuves contre eux. En d’autres mots, les droits de l’homme sont bafoués. Cependant, Barack Obama réitère sa promesse concernant la prison de Guantanamo Bay.

Politique

Des manifestants ont été violemment réprimés ce 26 novembre au Caire par les policiers. Ces derniers ont déployé des canons à eau pour disperser les protestataires. La mort de manifestants en 2011 et l’existence de l’article autorisant les procès de civils devant les tribunaux militaires sont la principale source de ces heurts. Amnesty International a réagi directement contre cet acte en dénonçant l’utilisation de force excessive contre ces manifestants.

L’arrestation de quelques manifestants non autorisés a conduit les dix membres du comité chargé de réviser la Constitution égyptienne de suspendre leurs travaux. La loi stipule que les organisateurs devraient informer les autorités trois jours avant de faire un rassemblement. Cette loi ne semble pas être respectée selon le ministère de l’Intérieur. Ahmed Maher, principal cerveau de la révolte de 2011 a affiché son désaccord sur cette loi et demande son abrogation.

L’intervention de Khaled Yossef à la télévision d’État risque d’entrainer la rupture au sein du comité de la transition. Il a considéré cette manifestation de pacifique et reste toujours favorable à la liberté du peuple égyptien. Le projet de Constitution sur le maintien de l’article laissant aux tribunaux militaires de juger des civils semble diviser les 50 membres du comité. Les manifestants n’ont pas baissé leurs bras et ont continué de se rassembler au centre du Caire dans la soirée.

Politique

Sting s’engage aux côtés d’Amnesty pour le delta du Niger

La tournée de Sting, « Back To Bass » offre à Amnesty International l’opportunité de sensibiliser le public à sa campagne contre la pollution pétrolière et les violations des droits humains dans la région du Delta du Niger, au Nigeria.

Depuis plus de vingt ans, Sting est un fervent partisan d’Amnesty International et soutient ses actions de défense des droits humains à travers le monde. Cette relation de longue date se poursuit aujourd’hui, puisque des bénévoles d’Amnesty International vont installer des stands d’information lors de chaque concert de la tournée 2012 « Back To Bass » afin de mettre en avant la campagne sur le Delta du Niger.

Cette année, les bénévoles d’Amnesty présents sur la tournée « Back to Bass » informeront les spectateurs et leur proposeront de signer la pétition de l’organisation intitulée « Shell doit admettre ses responsabilités, les assumer, et nettoyer », qui exhorte Shell à verser un paiement initial de 1 milliard de dollars (645 millions de livres sterling ; 763 millions d’euros) afin d’établir un fonds d’assainissement du Delta du Niger et de lancer le nettoyage ainsi que l’indemnisation des communautés touchées. La campagne appelle également Shell et les autres compagnies pétrolières multinationales opérant dans le Delta à financer une évaluation complète de la pollution par les hydrocarbures dans l’ensemble de la région.

Les dates et lieux de concerts en France

24/02 : Clermont Ferrand – Zenith (Rue de Sarliève 63800 Cournon-D’Auvergne ; Tel : 04 73 77 24 24 )

25/02 : Marseille – Le Dome (48 avenue Saint Just ; Tel : 04 91 12 21 21 )

08/03 : Lille – Zenith (1 Boulevard des Cites Unies)

13/03 : Paris – Zenith (Parc de La Villette – 211 avenue Jean Jaurès, Paris 19 ; Tel : 01 42 08 60 00 ) 14/03 : Paris – Zenith

Toutes les informations (itinéraires, billetterie) pour chaque concert sont disponibles sur le site www.sting.com/tour.


source article : http://www.amnesty.fr

Politique

Amnesty International a rendu hommage mercredi 21 décembre à l’héritage illustre légué par Vaclav Havel, défenseur des droits humains, dernier président de Tchécoslovaquie et premier président de Tchéquie, à la veille de ses funérailles prévues le 23 décembre.

Vaclav Havel est décédé le 18 décembre à l’âge de 75 ans. Dramaturge, il a dirigé l’ancien mouvement dissident tchécoslovaque de la Charte 77 en faveur des droits humains, a été incarcéré à de multiples reprises par le gouvernement communiste, et adopté par Amnesty International en tant que prisonnier d’opinion.

Il fut l’un des grands leaders de la « révolution de velours », qui s’est insurgée contre le gouvernement en novembre et décembre 1989, et fut élu démocratiquement à la présidence tchécoslovaque peu après.

plus d’infos sur : http://www.amnesty.fr

Politique

Amnesty International : un bus aux couleurs du Marathon des signatures à Paris

A l’occasion du 10 décembre, jour anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, Amnesty International appelle le grand public à se joindre au Marathon des signatures. Ce jour est le point d’orgue de l’événement mondial du mouvement qui se déroule jusqu’au 17 décembre.

A Paris, dès 14h, un bus aux couleurs des personnes en danger mises en lumière par le Marathon des signatures, partira de la Gare du Nord. Il circulera dans la capitale pour sensibiliser et inviter les citoyens à agir en faveur de « 12 personnes en danger », prisonniers d’opinion, victimes de torture, de violences sexuelles, groupes menacés d’expulsions forcées, journalistes harcelés….

Entre 16h et 17h, le bus s’arrêtera place d’Italie, au Trocadéro à 18h et enfin, à 19h30, place Igor Stravinski (Beaubourg). Pour cette ultime étape, veillée à la lumière des projections et lanternes des « personnes en danger », seront lus les textes des « plumes » du Marathon des signatures, personnalités du monde de la culture qui ont écrit pour elles. Des défenseurs des droits humains, en danger, et des personnalités, comme Romain Goupil et Franck Pavloff, Marc Kravetz prendront la parole.

A bord du bus : des militants d’Amnesty International France et des défenseurs des droits humains, engagés pour soutenir les personnes dont les droits sont bafoués.

Lieu : Place Igor Stravinski (à côté du Centre Pompidou), Métro Rambuteau Heure : 19h30

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AMNESTY INTERNATIONAL : 5 décembre c’est la journée mondiale du bénévolat

Comme des milliers de femmes et d’hommes l’ont déjà fait partout dans le monde, vous pouvez nous rejoindre pour défendre les droits humains. Dans ce combat, chaque personne compte. Nous avons besoin de vous.

Comme des milliers de femmes et d’hommes l’ont déjà fait partout dans le monde, vous pouvez nous rejoindre pour défendre les droits humains.Dans ce combat, chaque personne compte. Nous avons besoin de vous.

SI VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU FAIRE « UN PEU » PLUS POUR AMNESTY INTERNATIONAL MAIS QUE VOUS NE SAVEZ PAS COMMENT, CE MESSAGE EST POUR VOUS !

Vous pouvez devenir bénévole au siège d’Amnesty International France à Paris. Vous contribuerez au mouvement en assurant un travail régulier au sein du Secrétariat National d’Amnesty International. forme C’est une d’engagement qui participe concrètement à faire reculer les violations des droits humains commises dans le monde. Les tâches confiées aux bénévoles sont extrêmement variées : élaboration des revues de presse, vente de produits dans notre boutique, saisie informatique, comptabilité, travail de fond sur les violations des droits humains dans un pays ou sur une thématique donnés …

plus d’infos sur : http://www.amnesty.fr

Politique

La peine de mort représente une négation absolue des droits humains. Au Bélarus, la situation est d’autant plus dramatique que la peine capitale est utilisée par un système pénal défaillant qui viole les normes internationalement reconnues.

La torture serait utilisée pour arracher des « aveux » aux détenus, qui n’auraient pas accès à des voies de recours efficaces, et les condamnés à mort ne sont avertis que très peu de temps à l’avance du moment de leur exécution.

Amnesty International, le Centre des droits humains Viasna et le Comité Helsinki du Bélarus s’opposent à la peine de mort en toutes circonstances et sans exception.

Plus d’infos sur http://www.amnesty.fr

Politique

A la veille de son 50ème anniversaire, Amnesty International se félicite de l’arrestation de Ratko Mladic, soupçonné de crimes de guerre. Cette arrestation constitue une étape essentielle vers une justice internationale efficace, a déclaré Amnesty International jeudi 26 mai au moment où l’ancien général bosno-serbe était envoyé en avion à La Haye pour y être jugé pour génocide.

Ratko Mladić a été mis en accusation par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie en 1995, notamment pour le rôle qu’il est soupçonné d’avoir joué dans le massacre d’environ 8 000 hommes et adolescents à Srebrenica.

Il est également accusé d’avoir une part de responsabilité dans les bombardements et les tirs isolés des forces bosno-serbes qui ont blessé et tué des milliers de civils dans la ville de Sarajevo.

Les autres chefs d’accusation à l’encontre de Ratko Mladić incluent complicité de génocide ; persécutions ; extermination et meurtre ; déplacement forcé et actes inhumains ; actes de terreur illégaux à l’encontre de civils ; meurtre ; traitements cruels ; attaques contre des civils et prises d’otages.

Ratko Mladić a été arrêté dans la province de Voïvodine, dans le nord de la Serbie, jeudi à l’aube.

« L’arrestation de Ratko Mladić fait franchir un grand pas en avant à la recherche de justice pour les victimes des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide perpétrés en Bosnie-Herzégovine, a déclaré Sian Jones, spécialiste de la Serbie à Amnesty International. Les autorités serbes doivent maintenant s’occuper de l’arrestation de Goran Hadzić, dernier suspect mis en accusation par le Tribunal qui soit toujours en fuite. »

L’ancien dirigeant serbe de Croatie Goran Hadzić est accusé d’avoir commis des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre dans une région de Croatie, la Slavonie orientale. Il est en fuite et se trouverait soit en Serbie, soit en Bosnie-Herzégovine.

« Maintenant que le Tribunal a presque terminé sa mission, les juridictions nationales concernées doivent aussi se rappeler qu’il leur incombe de poursuivre les personnes soupçonnées de crimes de guerre », a-t-elle ajouté.

« Ces autorités doivent déployer beaucoup plus d’efforts pour veiller à ce que toutes les victimes des crimes terribles commis par toutes les parties au conflit aient accès à la justice. »

La progression des enquêtes et poursuites relatives aux crimes de guerre que la Serbie a engagées au niveau national est toujours gênée par le manque de soutien politique et le financement insuffisant dont bénéficient la chambre spéciale chargée des crimes de guerre au sein du tribunal de district de Belgrade et le Bureau du procureur chargé des crimes de guerre.

« À l’heure où le Tribunal se prépare à parachever sa mission, le Conseil de sécurité des Nations unies doit également veiller à ce qu’il dispose du temps et des ressources nécessaires pour mener le procès de Ratko Mladić conformément aux normes les plus hautes de la justice internationale », a conclu Sian Jones.

L’arrestation de Ratko Mladić, qui est soupçonné de crimes de guerre, constitue une étape essentielle vers la justice,

a déclaré Amnesty International jeudi 26 mai au moment où l’ancien général bosno-serbe était envoyé en avion à La Haye pour y être jugé pour génocide.

Ratko Mladić a été mis en accusation par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie en 1995, notamment pour le rôle qu’il est soupçonné d’avoir joué dans le massacre d’environ 8 000 hommes et adolescents à Srebrenica.

Il est également accusé d’avoir une part de responsabilité dans les bombardements et les tirs isolés des forces bosno-serbes qui ont blessé et tué des milliers de civils dans la ville de Sarajevo.

Les autres chefs d’accusation à l’encontre de Ratko Mladić incluent complicité de génocide ; persécutions ; extermination et meurtre ; déplacement forcé et actes inhumains ; actes de terreur illégaux à l’encontre de civils ; meurtre ; traitements cruels ; attaques contre des civils et prises d’otages.

source article : http://www.amnesty.fr

Politique

Les autorités syriennes ne doivent pas recourir à la violence en réaction aux manifestations de masse devant se dérouler à travers le pays le vendredi 22 avril, a souligné Amnesty International à la veille de la manifestation du « Grand vendredi », dont Facebook a favorisé l’organisation.

Des manifestations non violentes en faveur de la liberté devraient avoir lieu à travers le pays, et notamment à Damas, Deraa, Homs et Banias, villes dans lesquelles des manifestants ont été tués par des membres des forces de sécurité ces dernières semaines.

« Les manifestations du  » Grand vendredi  » pourraient être les plus suivies à ce jour. Si les forces gouvernementales recourent aux mêmes tactiques extrêmement violentes qu’elles emploient depuis plus d’un mois, les conséquences pourraient être dramatiques. » a déclaré Malcolm Smart, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.

Plus de 228 personnes sont déjà mortes dans le contexte de la répression des manifestations, qui ont débuté le 15 mars et ont depuis essaimé alors que les Syriens devenaient de plus en plus nombreux à descendre dans la rue pour exprimer leurs doléances. Mardi 19 avril, huit manifestants ont été abattus par les forces de sécurité tandis qu’ils participaient à un sit-in pacifique dans la ville de Homs.

Bachar el Assad, le président syrien, vient de promulguer un décret législatif mettant enfin un terme à l’état d’urgence répressif en vigueur dans le pays de manière continue depuis 1963, soit 48 ans. « La levée de l’état d’urgence, synonyme de répression et de violations des droits humains pendant tant d’années, est une mesure positive même si elle a beaucoup tardé », a ajouté Malcolm Smart.

« Mais c’est vendredi 22 avril que la sincérité du gouvernement sur le terrain des réformes sera mise à l’épreuve. Il ne faut pas que de nouvelles personnes soient abattues dans la rue simplement pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression et de réunion. »

source article : http://www.amnesty.fr