Politique

Animatrice très aimée de The Voice, cette adorable jeune femme consacre également une partie de son temps à lutter pour les causes qui lui tiennent à cœur. Pour cette fois, elle va ainsi chanter pour une campagne de sensibilisation sur le cancer du col de l’utérus.

Engagée devant les caméras avec des émissions, Karine Ferri l’est tout autant quand elle ne se trouve pas dans les studios télés. En effet, la jeune femme s’en donne à cœur joie quand il s’agit de prendre part à des causes qu’elle juge nobles. Ces derniers temps, elle a ainsi fait le choix de participer à la lutte contre le cancer du col de l’utérus, spécialement sur son dépistage. Une bonne manière de réussir à sensibiliser les femmes sur les dangers de ce cancer.

L’animatrice a ainsi annoncé cette nouvelle avec un tweet sur son compte, ne donnant cependant pas trop de détails encore sur le sujet. Rappelons que la jeune femme a déjà chanté pour l’association Unissons nos voix il n’y a pas si longtemps pour la lutte contre la violence faite sur les femmes. Toujours partante pour les grandes causes !

Politique

Selon une proposition de loi déposée à la fin de mois de juillet, les supermarchés pourraient bientôt être contraints de faire don de leurs marchandises invendues à des associations caritatives. Des marchandises encore consommables mais trop souvent gaspillées.

Si certaines enseignes ont déjà mis de telles pratiques en place, elles restent trop peu nombreuses et le gaspillage de denrées alimentaires encore consommables ne fait qu’augmenter. C’est pour remédier à cette situation que plusieurs députés ont soumis un nouveau projet de loi au parlement afin de légiférer sur le sujet.

Ainsi, réunis derrière le député UMP du Nord Jean-Pierre Decool, 63 parlementaires soutiennent déjà ce texte et estiment que les mesures actuelles contre le gaspillage «ne suffisent plus». En effet, plus de 200 tonnes de déchets sortent de chaque grande surface chaque année, dont une grande partie est encore emballée alors que la logistique et les stocks importants des supermarchés leur permettraient facilement de pratiquer le don alimentaire.

Dans le détail, le projet de loi prévoit d’astreindre les grandes surfaces de plus de 1000m2 à donner «leurs invendus alimentaires encore consommables à au moins une association caritative dans le secteur de l’aide alimentaire». De par le coût que peut engendrer une telle obligation, les grandes surfaces de moins de 1000m2 pourront bien sûr adopter cette législation volontairement mais n’y seront pas contraintes. Comme le précise dans ce sens Jean-Pierre Decool, « il faut que le magasin ait la possibilité, dans le cadre de sa gestion, de mettre en place ce dispositif. Cela aura tout de même un coût » et ne doit pas peser sur la bonne santé de l’entreprise.

Toutefois, les associations qui souhaiteront bénéficier de ces invendus devront être capable de mettre en place les mesures de sécurité et d’hygiène alimentaire indispensables au stockage de telles denrées.

Crédits photo : Pascal3012

Coup de gueulePolitique

Révoltés par le montant toujours plus bas de leur prime d’intéressement, des salariés du siège social du groupe Casino basé à Saint-Étienne ont en guise de protestation, reversé la totalité de leur prime à une organisation caritative. Ils entendent par ce biais dénoncer la politique de l’entreprise qui malgré un chiffre d’affaire et des dividendes en hausse, ne cesse de réduire la participation des salariés.

Ainsi, plus d’une centaine de salariés du groupe Casino ont reversé leur prime jugée dérisoire (quelques dizaines d’euros en moyenne) à l’association caritative « 42 Sourires d’enfants » intervenant au CHU de Saint-Etienne. Une bonne action certes, mais dont l’objectif est avant tout de protester contre la direction du groupe. En effet, comme le précise Frédérique Augis, représentante CFDT, « les salariés de Casino ne demandent pas l’aumône, mais une reconnaissance de leur travail et de leur implication », alors que le montant des primes versées actuellement s’apparente plus à de la provocation.

« Voici une dizaine d’années, l’intéressement et la participation cumulés constituaient l’équivalent d’un 14e mois. Aujourd’hui, cela représente 200 euros, alors que le chiffre d’affaires, les bénéfices et les dividendes du groupe ne cessent d’augmenter », a ajouté la syndicaliste. L’ensemble des employés dénonce de ce fait l’accord sur le calcul de leur intéressement établi pour les trois prochaines années, et signé en 2013 par FO et la CFE-CGC, qui, selon eux, prévoit qu’il soit « calculé sur les résultats des sociétés historiques, les moins rentables du groupe ».

Crédit photo : Groupe Casino