Politique

Après la sanction de niveau 1 lancé à l’encontre de la Russie de Poutine, d’autres pénalisations plus dures encore attendent le pays. Ensemble, Barack Obama, François Hollande, Angela Merkel, David Cameron et Matteo Renzi décident de prendre cette décision à cause de la tournure de la situation actuelle en Ukraine.

Pour les puissances occidentales, le meilleur moyen de protéger l’Ukraine serait le blocage des avoirs des hautes personnalités de la Russie. Parmi ceux-là, il est possible de citer les biens du chef du FSB, Alexandre Bortnikov, celui du chef des services du renseignement extérieur, Mikhaïl Fradkov. Pour ces hommes politiques, l’interdiction de s’introduire dans les frontières des pays membres de l’Union européenne est aussi à prévoir.

L’ensemble de ces stratégies fera surement reculer tous ceux qui envisagent de faire des investissements en Russie durant les années à venir. D’ailleurs, en ce moment, même les capitalistes russes ne sont plus très à l’aise dans leurs propres nations.

Politique

La paix se fait attendre à l’Est de l’Ukraine. Les séparatistes prorusses ne sont pas favorables au cessez-le-feu unilatéral exigé par Kiev et ne cesse d’attaquer les forces gouvernementales.

Un attaque au mortier a blessé trois soldats se trouvant sur l’un des postes de contrôles de la région de Donestk, quatre heures avant la cessez-feu de mandé par le président Petro Porochenko.  François Hollande, Barack Obama et Angela Merkel évoque leur crainte sur les risques qu’encours la Russie si elle ne réagit pas pour minimiser les tensions à la frontière avec l’Ukraine. « Des troupes russes n’étaient pas venues aussi près du territoire ukrainien depuis leur invasion de la Crimée » déclare Mme Psaki. Selon Washington, Moscou pense « apporter un soutien actif aux combattants séparatistes  prorusses ».

Poutine a regroupé son armée au centre de la Russie et en état d’alerte selon le ministre de la défense russe. Les troupes sont en alerte selon l’ordre de Vladimir Poutine. Le ministre des affaires étrangères, lors de son visite en Arabie Saoudite ne cache pas sa préoccupation sur l’intensification des actes militaire de l’Ukraine malgré le plan de paix et le cessez-le-feu de Kiev.

Politique

Jeudi 15 mai dernier, Barack Obama a procédé à l’inauguration du Musée destiné à raconter l’histoire du drame du 11 septembre. Le week-end suivant l’évènement, les portes de la nouvelle infrastructure étaient ouvertes aux membres des familles des victimes uniquement.

Pour entrer dans cet espace souverain de 7 étages, il faut passer par la rampe qui se trouve sous le Mémorial de Ground Zero. Dans le musée, les visiteurs peuvent y trouver des débris des tours du World Trade Center, des restes des ruines, ceux des équipements utilisés par les autorités lors de l’opération de secours…

À part cela, le musée renferme également des objets personnels des 3000 victimes lors du drame. Les concepteurs ont pris conscience du fait que chacun de ces objets raconte une histoire, et que les visiteurs doivent les découvrir. Il convient de préciser que l’ouverture du musée a entrainé la polémique. Car non seulement sa conception n’a pas été très longues, mais surtout difficile. Elle a duré pendant huit ans.

Politique

Barack Obama souhaite la fermeture définitive de la prison de Guantanamo

C’est lors de son discours sur l’état de l’union devant le congrés que le président d’Amérique a formulé son souhait. En effet, le chef d’étant veut que la prison de Guantanamo soit fermée cette année. Rappelons-nous que c’est une promesse qu’Obama avait fait en 2009 suite à l’élection présidentielle. Cet établissement carcéral, situé à Cuba, détient plus d’une centaine de prisonniers suspectés de terrorisme.

Les organismes humanitaires tels que Amnesty International mettent la pression au gouvernement pour que les mesures nécessaires soient prises afin que la fermeture puisse enfin avoir lieu. Cependant, ce n’est pas chose facile, car cela fait des années que des débats autour de cette affaire durent. De nombreuses personnes et d’organisations luttent pour cette case, car une bonne partie des incarcérés croupissent dans ces geôles depuis des années alors qu’il n’y ait pas suffisamment de preuves contre eux. En d’autres mots, les droits de l’homme sont bafoués. Cependant, Barack Obama réitère sa promesse concernant la prison de Guantanamo Bay.

Politique

Nelson Mandela s’est éteint ce jeudi soir après avoir vécu 95 années. Des chefs d’Etats et des hautes personnalités du monde entier ont consacré une parole pour lui rendre hommage.

Barack Obama, président des Etats-Unis a rappelé les points forts de Nelson Mandela. Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix a repris ses paroles dans la lutte contre l’apartheid. La reine Elizabeth II d’Angleterre a fait part d’une grande tristesse après l’annonce de la mort de l’icône de l’Afrique. Elle et Xi Jinping ont félicité les actions de ce grand-homme. Frederik De Klerk et Thabo Mbeki ont rappelé les fruits apportés par cet ancien président de l’Afrique du Sud.

François Hollande a confirmé que Nelson Mandela est « la fierté de toute l’Afrique ». Ban Ki-moon et Dilma Roussef ont invité tout le monde de prendre Mandela pour exemple. C’est un « héro » pour David Cameron. Nicolas Maduro a décrété trois jours de deuil dans son pays. Au Conseil de sécurité des Nations unies, il y a une minute de silence à sa mémoire. L’archevêque Desmond Tutu avait dit qu’il « nous a appris à vivre ensemble ».

Coup de gueule

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La célébration du cinquantième anniversaire du discours de Martin Luther King contre la ségrégation raciale, « Je fais un rêve« , a débuté samedi 24 août sur le Mall de Washington, où plusieurs dizaines de milliers de personnes, dont une grande majorité de Noirs américains, se sont réunis.

Les commémorations, qui s’achèveront mercredi 28 août, ont débuté par un grand rassemblement devant le Lincoln Memorial, lieu où 250.000 personnes s’étaient réunies pour écouter, le 28 août 1963, la fameuse allocution du pasteur Martin Luther King.

« Le travail n’est pas fini, le voyage n’est pas terminé« , a assuré Martin Luther King III, fils de MLK. « Le rêve est loin d’être réalisé (…) les pleurs de la mère et du père de Trayvon Martin nous rappellent que bien trop souvent la couleur de la peau reste un permis pour le délit de faciès, pour arrêter et même pour assassiner« , a-t-il indiqué en référence à l’adolescent afro-américain tué en Floride en 2012, triste affaire encore dans toutes les têtes. L’acquittement de son agresseur, en juillet dernier, a en effet provoqué la colère de la communauté noire et de nombreuses manifestations à travers tout le pays.

De nombreux orateurs se sont ainsi succédés sur les marches du Memorial Lincoln, pour rendre hommage au pasteur assassiné en 1968. Pour rappeler également que, 50 ans plus tard, malgré des progrès évidents sur le plan des mentalités, la lutte pour l’égalité raciale n’est pas terminée et les revendications sont nombreuses (droit de vote, lutte contre la violence armée, réforme de l’immigration…).

Cet anniversaire sera animé par des services religieux, un « festival de la liberté », une marche, des conférences, des débats, des concerts et des expositions. Le point d’orgue sera toutefois l’intervention attendue, mercredi, de Barack Obama… le premier président noir des États-Unis !