Suisse, gauche, F35
International

Mardi 31 août, une coalition rassemblant trois partis de gauche suisses (Groupe pour une Suisse sans armée, le Parti socialiste suisse, et les Verts) a engagé une campagne contre l’acquisition du  F-35A américain. Celle-ci espère ainsi récolter les 100 000 signatures nécessaires pour déclencher une votation d’initiative populaire. 

Mauvais choix tactique  

Pour l’ancien pilote de Rafale Pierre-Henri Chuet, le F35 est indubitablement un mauvais choix tactique de la part des Suisses  : «  Ce qu’ils recherchent, c’est un intercepteur. Le F-35 va pouvoir faire le job. Est-ce que c’est le meilleur pour ça  ? On peut débattre  : il est en tout cas moins maniable que tous ses concurrents de l’appel d’offres, remarque le retraité de l’aéronavale. C’est bizarre de choisir un avion qui est conçu pour faire de la pénétration chez l’ennemi de manière furtive. Ils ont un avion qui a un grand panel de possibilités, mais dont ils n’ont pas l’utilité. Ça revient à aller acheter le pain en Ferrari.  »

Mauvais choix stratégique

Le conseiller national socialiste Pierre-Alain Fridez déplore lui un mauvais choix stratégique : « La logique voudrait qu’on fasse le choix d’un avion de combat européen, assure-t-il. Ce n’est pas pour faire un cadeau aux Français, mais personnellement j’étais en faveur du Rafale, parce que si jamais on devait se défendre, ce serait bien sûr en collaboration avec la France ».

«  Pire cas de figure possible  »

«  Sur le fond, nous ne sommes pas un parti très militariste, en partant du principe que la Suisse est un pays neutre, entouré de pays amis, protégé par l’Otan. Idéalement, nous ne voulions pas de nouveaux avions, mais là on est dans le pire cas de figure possible  », déplore Pierre-Alain Fridez, qui espère bien convaincre ses concitoyens.

«  Au niveau du peuple, ça va, mais au niveau des cantons, dont certains sont très conservateurs, ça pourrait être plus compliqué, s’inquiète l’élu de gauche. Nous avons un an et demi avant une éventuelle votation pour défaire l’image de cet avion dans l’opinion  ».

EconomieInternationalPolitique

L’image d’un Laurent Gbagbo anticolonialiste et tolérant, qu’il continue d’entretenir dans certains milieux en Côte d’Ivoire et en France, ne résiste pas à l’analyse des faits. La politique conduite dans les années 2000 par l’ex-président ivoirien tient davantage d’un nationalisme dur que d’un socialisme ouvert.

Qui est Laurent Gbagbo ? Aujourd’hui, un ancien président africain jugé par la CPI pour « crimes contre l’humanité » ; hier, un chef d’Etat qui s’adonnait à la « préférence nationale » en ostracisant certaines ethnies et confessions ; avant-hier, un militant courant les hauts-lieux de l’anti-impérialisme et du tiers-mondisme dans les rues de Paris. Le « jeune » militant Gbagbo – il a une quarantaine d’années lorsqu’il entame sa virée parisienne, de 1982 à 1988 – est à l’époque clairement encarté à gauche ; il a pour compagnons de route des convaincus du socialisme. Lorsqu’il sera président de la Côte d’Ivoire, c’est décidé : il se battra pour mettre fin à la « domination » – économique surtout – de son ancienne colonie et placera les Ivoiriens au centre de son action.

Il faut croire que quelques années suffisent à faire changer un homme du tout au tout. A tort ou à raison, Laurent Gbagbo ne cherchera jamais à distendre les liens qui unissent la Côte d’Ivoire et la France. Surtout, il ne conduira jamais de programme de gauche. La souveraineté qu’il réclamait pour son peuple servira de prétexte à un repli identitaire empruntant davantage à l’extrême droite.

« Remises de mallettes à Jacques Chirac »

Lorsqu’il arrive au pouvoir en 2000, l’ancien pensionnaire des groupes de réflexion anticolonialistes souhaite tourner la page Félix Houphouët-Boigny, premier président ivoirien et partisan revendiqué de la « Françafrique » (on lui doit le mot), dont l’influence est encore très forte dans le pays. Laurent Gbagbo met en œuvre une politique dont le but initial est l’enrichissement des Ivoiriens, mais qui prendra rapidement les atours d’une politique anticolonialiste. La gestion économique du pays est revue et le partenariat privilégié avec – et au profit de – l’ancienne puissance coloniale est dénoncé ; le franc CFA, vestige du passé selon lui, est cloué au pilori aussi bien pour ce qu’il représente que parce que le pays est fortement endetté.

Derrière ce verni anti-Français, pourtant, les relations entre Abidjan et Paris ne s’interrompent jamais réellement. En 2011, on apprend ainsi par l’ex-numéro 2 du régime de M. Gbagbo, Mamadou Koulibaly – alors président de l’Assemblée nationale ivoirienne –, que trois millions d’euros auraient transité entre la Côte d’Ivoire et la France pour financer la campagne électorale de Jacques Chirac en 2002. Des propos qui rejoignent ceux de l’avocat français Robert Bourgi, conseiller officieux pour l’Afrique du président Sarkozy, qui a affirmé avoir « participé à plusieurs remises de mallettes à Jacques Chirac » et remis des fonds à Dominique de Villepin, alors Premier ministre.

Laurent Gbagbo, qui dénonçait pourtant la mainmise des entreprises françaises dans son pays, a également contribué à les maintenir en place une fois au pouvoir. Comme, par exemple, en 2004, lorsqu’il octroie un véritable monopole au groupe Bolloré pour gérer le premier terminal à conteneurs du port d’Abidjan, ainsi que le chemin de fer qui permet de transporter les marchandises dans les environs. Comme, également, en 2010, lorsque Total passe un accord avec la société Yam’s Petroleum qui appartient à Pierre Fakhoury, un proche de M. Gbagbo, pour un investissement de 250 millions de dollars pour l’exploitation-production d’un bloc pétrolier ivoirien.

« Ivoirité »

Faire des ronds de jambe à l’ancienne métropole n’aurait sans doute pas été reproché à Laurent Gbagbo si, en interne, son action n’avait pas été aussi lourde de conséquences pour une partie de la population ivoirienne. Pourtant, sa vision au départ était louable ; la politique de « refondation » qu’il souhaitait mettre en place, fortement teintée de socialisme, devait poser de nouvelles bases assainies pour un meilleur fonctionnement de la société ivoirienne.

A la place, la période qui s’étend de 2000 à 2010, durant laquelle le Front populaire ivoirien (FPI), son parti, sera au pouvoir, se caractérise par une violence politique permanente. Très loin du rassemblement prôné au début, se mettent en place de véritables agoras dont la fonction est moins de faire participer la foule au débat public que de lui faire boire l’idéologie du parti. Les milices telles les Jeunes patriotes ou la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’ivoire multiplient les exactions. Leur cible principale ? Les populations du Nord.

La mise au ban de certaines ethnies ou confessions n’est pas nouvelle en Côte d’Ivoire. Elle fait partie intégrante du concept d’« ivoirité », né dans les années 1940 et remis au goût du jour au milieu des années 90 par le président Henri Konan Bédié. A l’époque, le pays compte quelque 25 % d’étrangers et, rapidement, se met en place une « méfiance identitaire » : les Ivoiriens du Nord, en majorité musulmans, tout comme les Malinkés, sont rejetés par ceux du Sud ; certains hommes politiques, comme Alassane Ouattara, en feront d’ailleurs les frais, en étant écartés de la vie publique.

« Des comportements politiques radicalement opposés à ceux défendus dans le passé »

Arrivé au pouvoir, Laurent Gbagbo a simplement repris à son compte cette doctrine d’ « ivoirité », au départ simple concept économique – des slogans publicitaires tournaient en boucle pour inciter les Ivoiriens à consommer local – qui glissera vers la plus abjecte des idéologies politiques : nationalisme culturel, identitaire et chauviniste, rehaussé de xénophobie et de racisme. Il est loin, le temps où le jeune Gbagbo rêvait de socialisme dans les rues de la capitale française.

Une question, dès lors, se pose : l’ancien président ivoirien portait-il déjà en lui ces germes nationalistes et identitaires ou a-t-il malencontreusement glissé en cours de route ? Difficile à dire. Dans Frontières de la citoyenneté et violence politique en Côte d’Ivoire (Codesria), Jean-Bernard Ouédraogo, sociologue et directeur de recherches au CNRS burkinabé, et Ebrima Sall, sociologue sénégalais, voient dans cette « plasticité idéologique »  le propre d’un « grand nombre de militants africains issus de la « gauche » et qui ont adopté plus tard des discours et des comportements politiques radicalement opposés à ceux défendus dans le passé ». Et soutiennent que jeune militant déjà, Laurent Gbagbo n’avait aucune capacité de « réflexion sur les modalités d’intégration des étrangers dans un contexte de multipartisme. »

« Clone ivoirien de Marine Le Pen »

Ce qui ne l’empêchera pas de bénéficier du soutien de personnalités de la gauche française, jusqu’à très récemment encore. Pendant la dernière campagne présidentielle, le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon – qui a toujours soutenu Laurent Gbagbo –, a même déclaré qu’il « irait [le] chercher en prison » s’il était élu président de la République. Une complaisance qui ne laisse pas de surprendre. Dans un billet publié sur Mediapart, le philosophe Alexis Dieth s’interroge : « Qu’est ce qui détermine [les réseaux de la Françafrique de gauche] à porter aux nues et à célébrer l’ethno-nationaliste Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire alors qu’ils vomissent en France l’ethno-nationaliste Marine Le Pen dont Laurent Gbagbo est le clone ivoirien ? » Bonne question.

D. Fadiga

Coup de gueule

Au total, c’est 100 000 personnes qui ont manifesté dans les rues de la capitale et des grandes villes françaises samedi dernier. Les partis de la gauche de la gauche, des syndicats et des associations se sont rassemblés en réponse à l’appel du collectif 3A : « Alternative A l’Austérité ». L’événement a été organisé pour dénoncer la politique d’austérité du gouvernement.

A Paris, le mouvement a rassemblé près de 30 000 personnes dans un défilé allant de la place Denfert-Rochereau à l’Assemblée Nationale. Une trentaine de manifestations ont également eu lieu dans les villes de province, notamment à Toulouse où la CGT a décompté environ 6 000 participants. Le mouvement a été suivi à plus petite échelle à Bordeaux et à Strasbourg.

La manifestation a eu lieu juste avant le vote de l’Assemblée Nationale du budget d’austérité, jugé inefficace par le collectif 3A. Elle fait également écho à la « répression accrue des mouvements sociaux, écologiques et citoyens » selon les propos de Jean-Luc Mélanchon recueillis par le JDD et AFP, suite à la mort de Rémi Fraisse à Sivens.

Ce rassemblement est un véritable succès, chaque entité a marché ensemble, le PG, le PCF, le NPA et bien d’autres. Comme l’indique Eric Coquerel, coordinateur du parti de Gauche, « c’est la plus grande diversité politique syndicale et associative depuis l’élection de François Hollande, de ce côté de l’échiquier politique ».

Le mouvement ne devrait pas s’arrêter là, de nombreuses personnalités politiques et syndicales étaient présentes, réunies pour dénoncer ensemble la politique du gouvernement, notamment le budget 2015 qui, selon Olivier Besancenot (NPA) est « une facture, douloureuse, présentée à des millions de personnes, pour payer un cadeau qui a été fait au patronat, qui est le pacte de responsabilité. Ce cadeau, on le paie avec des suppressions d’emploi ».

Crédits photo : Jebulon

Politique

Les mots de l’éditeur :

On a voté… et puis après ? Olivier Besancenot

Le 6 mai 2012, le 1 % des Français les plus riches a perdu son VRP et la foule, place de la Bastille, a davantage fêté le licenciement politique de Nicolas Sarkozy que la victoire de François Hollande.

Mais sous les urnes il y a la vase. 48,5 % des Français ont voté pour un candidat qui a fait une campagne xénophobe, raciste et « islamophobe », violant ainsi, pour la plupart, un interdit moral et ouvrant la voie au Front national.

On a voté… et puis après ? La crise prospère à l’instar des banquiers, les plans de licenciement et les délocalisations sortent des tiroirs. Il faut bien faire monter la Bourse !

Olivier Besancenot invite à une prise de conscience, à la reprise des luttes sociales. Même sous un gouvernement de « gauche », rien ne sera donné. Tout est à reprendre.

Politique

La progression de la gauche est un espoir pour tous les peuples européens (PGE)

Le parti de la gauche européenne (PGE) s’est réuni ce week-end à Athènes, accueilli par Syriza. Ces 28 partis membres et 10 observateurs se sont réjouit de la fulgurante ascension de leurs partenaires grecs et plus généralement, de la progression de la gauche dans plusieurs pays de l’UE, comme par exemple le Front de gauche en France. Les positions de la gauche se renforcent. Les forces du PGE dans leur pays et le PGE au plan européen sont désormais incontournables. C’est un espoir et un atout pour les résistances à l’austérité. La possibilité d’une alternative politique visant la refondation de l’Europe, dans la solidarité, au service des peuples et de la démocratie, grandit. Le PGE a affiné ses propositions d’urgence : un moratoire et une conférence européens sur les dettes publiques pour empêcher leur aggravation et déterminer leur hauteur réelle ainsi que des mesures de régulation bancaire. Il a précisé sa conception des mesures à prendre une croissance d’un nouveau type : fondée sur une meilleure répartition des richesses entre le capital et le travail, la justice fiscale et des changements profonds dans le système bancaire et financier Des actions seront mises en œuvre dans tous les pays pour empêcher la ratification du dangereux pacte budgétaire et combattre le repli égoïste attisé par l’extrême droite. Avec un comité citoyen composé de personnalités politiques, syndicales et du mouvement social et culturel, le PGE a déposé devant la commission européenne un projet d’initiative citoyenne européenne pour la création d’une banque publique européenne exclusivement dédiée au développement social, écologique et solidaire. Au mois de septembre commencera une grande campagne pour la récolte d’un million de signatures dans toute l’UE. Toujours engagé avec les mouvements sociaux et les forces syndicales, le PGE participera activement à l’initiative « Florence + 10 » en novembre et au processus de construction d’un « alter summit » pour le premier semestre 2013.

source article : http://www.pcf.fr/

Politique

Elections legislatives : mettez du rouge à l’Assemblée Nationale !

Dimanche 10 juin, les français sont appelés aux urnes. Pour faire reculer le FN et pour placer l’humain d’abord, mettez du rouge à l’Assemblée Nationale.


Du rouge à l'Assemblée Nationale par PlaceauPeuple

source article : http://www.placeaupeuple2012.fr : Site officiel de la campagne du Front de gauche, www.placeaupeuple2012.fr agrège non seulement les productions des élus, des militants, des sympathisants, mais aussi plus largement des citoyen-ne-s qui tiennent des sites d’information ou des blogs.

Politique

Négociations PS-EELV-FDG pour les législatives

Risque FN / Négociations PS-EELV-FDG : Le Front de gauche est prêt à signer

Depuis maintenant une semaine, des discussions sont engagées entre les partis du Front de gauche, le Parti socialiste et Europe écologie les verts pour désigner des candidatures uniques de la gauche dès le premier tour des élections législatives dans le cadre d’un accord concernant les circonscriptions où il existe un risque Front national ou d’élimination de la gauche au second tour.

Si chaque partenaire prend sa part d’effort, l’accord est désormais possible à toute heure.

Pour y parvenir, le Front de gauche, qui a formulé des propositions concernant 29 circonscriptions, a décidé hier un ultime effort qui fait que l’équilibre de cette répartition fait désormais consensus. Il n’y a donc plus de raison de tarder.

Le Front de gauche est prêt à signer l’accord aujourd’hui. Tout délai et a fortiori tout échec seraient incompréhensibles.

source article : http://www.pcf.fr

Politique

Vendredi 4 mai – Grand meeting du Front de gauche place Stalingrad pour battre Nicolas Sarkozy. Avec Pierre Laurent et J.L. Mélenchon


Le Front de gauche organise un grand meeting pour appeler à battre Nicolas Sarkozy le 6 mai, lors du 2ème tour de l’élection présidentielle.

Place de la Bataille de Stalingrad – Paris 19 (Metro Jaurès ou Stalingrad)

18h30 : Début du meeting du Front de gauche Place de la bataille de Stalingrad – Paris 19 Prises de parole des responsables des composantes du Front de gauche

19h30 : Discours de Jean-Luc Mélenchon

Prises de parole des responsables des composantes du Front de gauche

20h10 : Discours de Pierre Laurent

Le meeting sera retransmis en direct sur www.pcf.fr

source article : pcf.fr

Politique

Resultats en direct elections 2012 en France à 20h00 : le gagnant du 1er tour est Francois Hollande (PS) avec 28.63 %.

Les résultats définitifs du 1er tour :

Eva JOLY = 2,31 %

Marine LE PEN = 17,90 %

Nicolas SARKOZY = 27,18 %

Jean-Luc MÉLENCHON = 11,10 %

Philippe POUTOU = 1,15 %

Nathalie ARTHAUD = 0,56 %

Jacques CHEMINADE = 0,25 %

François BAYROU = 9,13 %

Nicolas DUPONT-AIGNAN = 1,79 %

François HOLLANDE = 28,63 %

Les Français sont appelés ce dimanche 22 avril 2012 premier tour de l’élection présidentielle à choisir entre 10 candidats, dont seuls les deux premiers resteront en lice pour le second tour le 6 mai. A suivre en direct ce dimanche !

Environ 45 millions d’électeurs sont appelés aux urnes pour cette 9e élection présidentielle en France.

A 12h00, au premier tour de l’élection présidentielle, le taux de participation s’élève à 28,29 %. Au premier tour de l’élection présidentielle de 2007, ce taux s’élevait à 31,21 % à la même heure. A 17h00, au premier tour de l’élection présidentielle, le taux de participation s’élève à 70,59 %.

Le taux de participation définitif au 1er tour de l’élection présidentielle de 2012 est de 79, 47 % .

Légalement fixée à 20 heures – heure de fermeture des derniers bureaux de vote français -, la diffusion de tout résultat ou estimation prématurée, considérée comme une entorse à la sincérité du vote, est passible d’une amende de 75 000 euros.

Merci à la communauté web de respecter cette règle !

Politique

Le Front de gauche donne rendez-vous à 20h00 place de la Bataille de Stalingrad à Paris. Là même où la campagne fut lancée le 29 juin dernier. Après l’annonce des résultats, Jean-Luc Mélenchon prendra la parole. A Marseille, rendez-vous est donné sur le cours Honoré-d’Estienne-d’Orves à partir de 22h00. Dans le Nord, rendez-vous au Splendid de Lille à 20h00.


Pour ceux qui font soirée télé… à noter : Marie-George Buffet sera sur TF1 à partir de 20h00 puis sur Europe 1 à partir de 20h45. Pierre Laurent sera lui, sur France 2 à 20h00 puis sur France Info à 21h15 et France Inter à 21h30. Enfin Roland Muzeau sera sur Public Sénat à partir de 22h00.

source article : http://www.pcf.fr/