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Pour l’année à venir et pour les deux autres qui vont suivre, le président François Hollande a pour objectif de faire payer moins d’impôt aux français. C’est ce qu’il a déclaré lors de son passage dans le salon des portraits de l’Elysée.

Pour les années à venir, le président a un programme bien organisé. Pour cette année, il se concentrera sur la réforme de l’économie et du social. Pour l’année 2015, il fera en sorte d’améliorer tous les points concernant la jeunesse et la santé publique. Durant les deux années restantes, il se centralisera sur la réforme de la société.

Pour les impôts, la classe moyenne sera la première à bénéficier d’une baisse pour l’année 2015. Une réforme qui devrait changer la vie d’une centaine de milliers de personnes en France. Pour savoir de combien les impôts diminueront, il faudra quand même patienter un peu et attendre le résultat des perspectives de l’économie qui se fera savoir à la fin de cet été.

Coup de gueule

enfant_foot_photoUSAG.jpg Plus qu’un simple outil de relations internationales, le sport c’est l’école de la vie et du vivre-ensemble selon l’organisateur du Doha Goals Forum, Richard Attias. L’homme de réseau franco-marocain souhaite promouvoir les pratiques sportives pour permettre aux pays en développement de connaitre une croissance plus équilibrée et plus orientée vers les besoins de sa population.

Le co-fondateur de l’initiative, Richard Attias, nous explique dans une tribune sur le net le rôle intégrateur du sport et les bénéfices individuels et collectifs qu’il peut produire : « Mais le rôle social du sport est plus important encore, qu’il s’agisse pour les jeunes de l’apprentissage de l’esprit collectif et du respect des règles, des rêves d’ascension sociale pour les plus talentueux ou tout simplement du lien social induit par la pratique sportive, le sport rassemble et unit».

Lors de son passage dans les studios de RTL, chez Yves Calvi, il a tenu à souligner l’intérêt de ce genre de rassemblement, « il est fondamental que les gens se rencontrent ». Ce conseiller en communication connait l’importance de ces moments où les leaders des différentes sphères, économique, médiatique, politique, sportive, ou encore artistique, peuvent se rencontrer pour faire vivre avancer les projets de la société civile.

Le sport est véritablement une pratique à dimension globale, c’est une filière professionnelle qui génère d’importantes retombées économiques, et recèle une forte dimension symbolique et sociale. Face à ces enjeux, Richard Attias préconise de combiner les approches et les réseaux. Sa carrière passée à l’agence Publicis et à Davos notamment, l’aura conduit à adopter un pragmatisme propre au multiculturalisme et aux problématiques contemporaines.

Les travaux du colloque rejoignent d’ailleurs en de nombreux points ceux du bureau des sports de l’UNESCO. De là à envisager un partenariat, rien n’est impossible… Surtout que les solutions traditionnelles comme l’aide au développement, ont montré leurs limites. Malgré les promesses du président français d’augmenter la contribution française, toutes les initiatives innovantes pour répondre à la détresse sociale du continent doivent être étudiées, puis accompagnées…

Politique

sport made in southProchainement le Doha Goal Forum tiendra sa deuxième édition, un événement qui s’impose comme le rendez-vous des élites du sport mondial. Ce rassemblement aura lieu du 09 au 11 décembre, il traitera notamment la question désormais très suivie de la Taxe Tobin pour le sport…

Le sport comme vecteur d’intégration sociale

Le sport n’est pas un vecteur d’influence comme les autres. En Afrique notamment, il représente un moyen de s’élever socialement. Ainsi de nombreux jeunes talents désertent leur pays d’origine pour tenter leur chance à l’étranger. Avec cet exemple, s’aperçoit un peu plus des inégalités à travers la planète. Existe-t-il un sport équitable ?

Dans un article du Figaro, celui qui sera chargé de la coordination de la manifestation, Richard Attias, nous révèle sa façon de voir les choses : « À l’instar de la culture, le sport a des répercussions sur des domaines aussi variés que la santé, l’éducation, la croissance d’une ville, le développement d’un pays, la politique ou la paix. C’est un outil formidable de redéploiement ou de redéveloppement ».

Le sport , une opportunité pour les pays émergents ?

Lors des précédentes réunions dans la capitale qatarie, de nombreux athlètes de très haut niveau avaient fait le déplacement. De Boris Becker à Marie José Pérec, tous avaient souhaité apparaître à cet événement. Tous avaient à cœur de faire progresser la question du sport au sein des instances internationales, conscients qu’aujourd’hui c’est à cette échelle que résident les vraies solutions.

C’est dans cet esprit que Richard Attias milite pour une taxe Tobin du sport. Au détour d’une tribune sur le Huffingtonpost, il affirme que son initiative ne vise pas à « stigmatiser ou pointer du doigt les sportifs de hauts niveau mais à défendre l’idée s’un développement partagé du sport entre tous ses acteurs ».

Politique

Pad_Auto.jpgAvec l’explosion de la population urbaine, le phénomène de pollution atmosphérique devient de plus en plus un souci de santé publique. Malgré cela, les grandes villes ne parviennent pas, pour la plupart à fermer leur centre aux véhicules motorisés. Les automobilistes représentent en effet, une communauté extrêmement structurée comme en témoigne l’existence de nombreux groupes de pressions (Association Française des Automobilistes, 40 millions d’automobilistes…). Pourtant de vraies solutions existent déjà…

EDF garantie une électricité au moindre coût

La hausse des prix de l’énergie et plus généralement la raréfaction des ressources, pousse à imaginer de nouvelles solutions de mobilité. Alors que la promesse du candidat François Hollande de bloquer les prix de l’essence fut l’une des premières à être enterrée, nos entreprises proposent déjà une alternative : la voiture électrique !

Dans ce domaine, l’électricien EDF a une vraie expertise à apporter. Tant pour la gestion des ressources électriques, que l’optimisation de son usage, il ne lui reste plus qu’à faire savoir son savoir-faire. Adepte des partenariats dynamiques, l’énergéticien s’est engagé depuis plus de 50 ans dans le développement d’une automobile électrique avec les plus grands constructeurs mondiaux.

Le service Pad’Auto de Nancy, une expérimentation à généraliser ?

D’après le directeur du développement territorial d’EDF Jérôme Comb, « la voiture électrique répond à une grande majorité de besoins dès lors qu’on reste dans un périmètre que permet l’autonomie du véhicule ». En effet, pour les Français, les déplacements en voiture dépassent rarement les 50 km. Cette solution présente donc un double avantage, elle permet de contourner la faiblesse technique des véhicules électriques tout en permettant une sérieuse diminution de la facture énergétique.

C’est pourquoi la solution de la voiture partagée par copropriété semble vraiment dans l’air du temps. Pour les tarifs, il faut compter 20 euros pour l’abonnement annuel et 2.5 euros pour une heure d’utilisation. Une expérience qui pourrait par ailleurs être prochainement étendue à d’autres villes de France. Ce projet à vocation sociale et environnementale reflète la volonté de Batigère et EDF de « démontrer que l’innovation peut répondre aux besoins essentiels de déplacements urbains et suburbains, ouvrant de nouvelles voies contre l’exclusion sociale au bénéfice de la ville de demain, la ville durable ».